Journey into reality 124

(Jeudi 15 mars 2012)

Bob Bernstein : Bonjour à tous pour votre rendez-vous mensuel avec Journey into Reality et votre serviteur Bob. Il y avait longtemps qu'un module Warhammer n'avait pas alimenté le Nexus, Double péril est venu remédier à cela. Depuis quelques temps nous avions délaissé un de nos domaines de prédilection, à savoir les jeux de plateau. Il était temps d'y remédier pour parler d'un jeu de cartes avec plateaux : La gloire de Rome. Et pour cela, je vous propose d'accueillir un expert stratège : Victor Pandore ! Victor, bonjour !

Victor Pandore : Bonjour, M. Bernstein.

BB : Alors en quelques mots, La gloire de Rome, c'est quoi ?

VP : La gloire de Rome est un jeu où vous allez devoir construire divers bâtiments afin de marquer le maximum de points.

BB : Dit comme ça, on ne peut pas dire que ce soit l'idée la plus originale du siècle.

VP : Oui, mais souvent, ce sont les concepts les plus traditionnels qui donnent les meilleurs résultats à condition d'être inteligemment exploités et c'est le cas ici.

BB : Vous piquez ma curiosité et quels sont ces concepts.

VP : Première chose intéressante, chaque carte a trois utilités. Vous pouvez l'utiliser en tant que rôle pour bénéficier du pouvoir de la fonction représentée, en tant que bâtiment à construire ou en tant que ressource servant à la construction d'un bâtiment. Bien sûr choisir l'un de ses rôles, c'est s'aliéner les deux autres et cet aspect est particulièrement riche en possibilités ludiques.

BB : Quoi d'autre ?

VP : On est obligéde jouer sur plusieurs tableaux, construire des bâtiments pour profiter de leurs capacités, recruter des employés (appelés bizarrement clients dans le jeu) pour pouvoir faire d'avantages d'actions, mettre des ressources au coffre pour obtenir plus de points en fin de jeu. La façon de jouer les cartes et de les récupérer fonctionne aussi particulièrement bien et vous met à chaque tour dans des situations de dilemmes sur le choix à retenir.

BB : D'autres atouts ?

VP : Bien que pouvant paraître déroutante au premier abord, les règles sont finalement assez simples et très vite intégrées au bout d'un tour de table. Les parties sont souvent différentes car bien que certaines cartes paraissent très redoutables, il existe de nombreuses façons de l'emporter nécessitant de tenir à la fois compte des capacités dont on dispose mais aussi des choix faits par les autres joueurs. On pourrait comparer cet aspect du jeu avec les cartes Savoir-faire d'Agricola qui guident votre stratégie.

BB : N'en dîtes pas plus vous m'avez donné envie d'essayer !

VP : Pour conclure, je rajouterai que les parties sont assez courtes à la manière d'un Pandémie et que dès que l'on en finit une, on n'a qu'une envie c'est d'en recommencer une autre pour tester une nouvelle stratégie.

BB : Eh bien merci Victor, encore un bon jeu que nous vous conseillons d'ajouter à votre ludothèque. Il est temps de nous quitter pour mieux nous retrouver en avril. Bye !

Vous trouverez ici un passage vers d'autres Nexworlds isolés. Un seul point commun entre eux :

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Rien ne se perd jamais dans l'univers du Nexus. Si vous avez raté des épisodes (Shame on you), il est possible de remonter le temps pour aller visiter les époques précédentes de ce Nexworld.

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